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This article presents an original analysis of portrayals of women in Bosnia and Herzegovina (BiH) on websites with radical and extremist content. We analyze and discuss key online narratives about women and their societal roles from 100 sampled online articles published on ten websites that primarily propagate right-wing, nationalist and Salafist thinking. The article shows that while Salafist websites focus on didactic material about how women are expected to act (selectively using the Quran and hadiths), radical ethno-nationalist and right-wing articles directly accuse liberal-thinking women and feminists of immorality, perversity, and shameful behavior. While studied articles on Islamic websites confine women’s roles to family caretakers and to wives, selected ethno-nationalist articles present women in relation to their national belonging and war victimization. We conclude that the studied websites essentialize women’s societal functions, predominantly placing their roles and identities in the private sphere while linking womanhood to collective national and/or religious identity. Although the selected platforms represent different manifestations of extremisms, they share many similarities.

This paper is a review of how information and insight can be drawn from open social media sources. It focuses on the specific research techniques that have emerged, the capabilities they provide, the possible insights they offer, and the ethical and legal questions they raise. The relevance and value of these techniques are considered for the purpose of maintaining public safety by preventing, pursuing, protecting and preparing against terrorism.

The English Defence League (EDL) is the biggest populist street movement in a generation. Yet the make-up of the group and what its members believe remain a mystery because it has no formal joining procedures or membership list and much of its activity takes place online. The collection of large amounts of data from social media presents new opportunities for social research to understand the relationship between off- and online activity. As more movements combine – and blur – virtual and real protest, these questions will become increasingly urgent and important. These surveys, collected through Facebook using a new methodology, offer new ways forward in exploring this challenge.

Facebook est utilise par près de 1.5 milliard de personne autour du monde. Si la majorité d’entre eux l’utilisent bienveillamment, il y en a parmi eux qui utilisent cette plateforme à de mauvaises fins. De ce fait, Facebook a créé un ensemble de conditions et de règlements, les Standards de la communauté, détaillant les contenus publiables et non-publiables sur ce réseau social. Par exemple, Facebook interdit et supprime les propos haineux, définis comme un ‘contenu qui cible des personnes en raison de leur race, leur ethnicité, leur origine nationale, leur religion, leur sexe, leur orientation sexuelle, leur infirmité, ou leur état de santé réel ou supposé’. Alors que Facebook proscrit les propos haineux, il arrive que des contenus désagréables ou perturbants qui n’enfreignent toute fois pas les conditions d’utilisation de Facebook soient publiés.

Pour contrer ce genre de contenu extrémiste ou désagréable, Facebook a publiquement déclaré que la pratique du contre-discours, ainsi que les outils fournis pour son développement, doivent jouer un rôle critique. Selon Facebook, cette méthode n’est pas seulement probablement la plus efficace d’adresser l’extrémisme en ligne, mais a également de meilleures chance d’y succéder à long-terme.

L’utilisation du contre-discours est une réaction participative et couramment employée contre l’extrémisme et le contenu haineux. En effet, les publications Facebook à contenu extrémiste sont souvent reçues avec désaccord et dérision, ainsi qu’avec des contre-campagnes. Il est avantageux de combattre l’extrémisme ainsi puisque cette méthode est plus rapide, plus flexible, responsive et capable de le combattre n’importe où et dans n’importe quelle langue – tout en promouvant le principe d’espaces publiques ouverts à la libre expression. De plus, les formes prises par ce contre-discours sont toutes aussi variées que l’extrémisme auquel elles s’opposent. Elles ne sont pas toujours aussi effectives qu’elles ne pourraient l’être, et il faut également considérer la possibilité que le contre-discourspourrait éventuellement être contre-productif.

Casi 1.5 millón de personas emplean Facebook en todo el mundo. Aunque la mayoría de las usuarios utilizan el sitio con fines positivos, algunos emplean la plataforma con malas intenciones. En este sentido, Facebook ha creado las normas de la comunidad, un conjunto de políticas que detalla qué tipo de contenido es apropiado publicar y qué queda prohibido. Por ejemplo, Facebook prohíbe y elimina contenido que incite al odio, que define como “contenido que ataca directamente a individuos en función de su raza, origen étnico, nacionalidad, religión, orientación sexual, sexo, género, identidad de género, discapacidad grave o enfermedades”. A pesar de que la incitación al odio está prohibida, en ocasiones ciertos usuarios publican contenido desagradable o perturbador que no infringe las políticas de Facebook.

Para contrarrestar ese tipo de contenido desagradable o extremista, Facebook ha declarado públicamente que el contenido compensatorio (y las herramientas que su plataforma ofrece para promoverlo) desempeñan un papel fundamental en la lucha contra dichas malas prácticas. Facebook opina que esta forma de atajar el problema no es sólo resulta potencialmente más eficaz, sino que además es más probable que tenga éxito a largo plazo.